Boomerang, le retour à soi

Le retour à quoi ? Hein… le retour sur spectacle. Comment dire…? hum… c’est comme des pièces,
des pièces mais comme provenant de puzzle différents. Bon sang mais j’ai pas le modèle ; c’est
censé ressembler à quoi ? A soi… butó, retour aux origines… pff… j’aurais peut-être du lire la
biographie de l’artiste avant de venir. Et pourquoi elles sont deux sur scènes ? Français, italien,
visible, non lisible ? C’est quoi le parti pris ?
Non, franchement, j’y comprends rien. Ça s’enchaine, sur, mais de là à dire que ça se suit…
Superposition, juxtaposition, mais assemblage…
Il y avait un cadre de posé, l’intérieur n’a pas collé à ce que j’y avais projeté. C’est… vous savez
comme quand – pour continuer sur la métaphore du puzzle – vous arrivez à assembler une pièce
avec une autre, que le plein va dans le vide et vice versa mais c’est pas forcément pour autant
toujours la bonne pièce.
Fil conducteur ? Pas trouvé ! Cohérent ? Pas pour moi ! J’ai peut-être pas le bon angle… ou pas de
recul. Je me suis accrochée à la beauté de la lueur des torches allumées ; un peu de danse : une lueur
d’espoir… ah bah non ça s’éteint.
Mouais… pas apprécié, pas intéressant puisque rien n’est jamais inintéressant quand on y regarde de
plus près, mais purée : j’ai jamais eu autant envie de partir d’un spectacle avant la fin ! (et j’en ai
déjà vu quelques uns) mais bon en plus des fois c’est à la fin que tout s’éclaire… bah là non !
Enfin bref, c’est pas mon univers. Passons. NEXT.

Harmonie B.